29 minutes de lecture

Patrimoine religieux. Inattendu ? Unique ?

Beaucoup de villages d’Eure-et-Loir paraissent tout à fait convaincus de ne pas avoir de “monument” qui aurait un peu de valeur artistique, historique et touristique. Puis vient l’exception, que connaît le maire (qui doit assurer les travaux), le passionné d’histoire (qui habite quelques mètres plus loin) ou celui qui fait en famille sa courte promenade digestive du dimanche après-midi : « Ah oui… l’église ».

Seul témoin important du passé, marqueur d’identité. Pourquoi ? La première raison est d’abord pratique : l’édifice paroissial était souvent au Moyen-Âge le seul bâtiment en pierre. On voulait y loger tous les fidèles, en offrant au lieu un caractère pérenne et un « supplément d’âme ». Me revient cette discussion improvisée de deux ados, qui attendaient leurs copines sous le porche d’une église: « – Faire ça pour Dieu, quand t’y penses… – Tu peux construire pour faire “genre”, ou pour l’argent, ou pour mettre des bureaux… Prier finalement, je pense que ça vise un cran au-dessus… – Alors, ils devaient grave kiffer Dieu… ».
Oui : le patrimoine est aussi une façon d’échapper à l’utilité des choses et le témoignage d’un élan passionné – vital.

Commençons ce voyage de curieux et d’esthète dans les églises d’Eure-et-Loir, itinéraire totalement subjectif – parce qu’assumant de fonctionner aux coups de cœur. Partir sur les routes (en voiture, en vélo…), c’est d’abord à l’improviste et au plus près de chez soi. Se précisent alors les silhouettes reconnaissables des églises (au nombre de 450 sur le département ; ce qui nous oblige à nous excuser auprès de celles qui ne seront pas citées !). Deux critères s’imposent, avec une certaine diversité : le clocher est-il en façade, en latéral, ou sur la faîtière du toit ? Est-il “plat” ou “pointu” ? Ainsi reconnait-on sa commune à plusieurs kilomètres.

Dès qu’on s’approche, vient la réalité visuelle et tactile du matériau – celui que l’on trouve à proximité. L’église de Berchères-les-Pierres est entièrement construite dans ce beau calcaire ultra- résistant qui en a pris le nom, extrait à un kilomètre de là. À la base du clocher, sont employés des blocs de presque deux mètres de long, qui pèsent plusieurs tonnes : une sorte de record européen. Le calcaire est utilisé pour de nombreuses églises de Beauce (Boisville- la-Saint-Père, Santeuil…), avec des formes minimalistes que n’aurait pas renié le XXe siècle de Le Corbusier.

Mais plus à l’ouest (Thimert, Fresnay- le-Gilmert, que l’on découvre dans un environnement pittoresque – à l’écart du bourg), l’essentiel du bâti est souvent en “grison”, cette étrange pierre naturelle formée d’un agrégat de cailloux et d’un ciment ferrugineux aux teintes brunes, qui a finalement un charme fou. À Saint-Lubin-de-Cravant, la partie supérieure du clocher est… à pan de bois.

Tout le plaisir de ces églises que l’on dit souvent “modestes”, c’est d’y découvrir des pépites ignorées. Les nombreux portails sculptés des XIIe/XIIIe siècles méritent l’attention : tout autant leurs deux chapiteaux (parfois plus…) que leurs voussures en demi-cercle. Les chapiteaux ? C’est le monde du végétal, qui va du très naïf au très maîtrisé : les feuilles y sont d’espèces réelles ou imaginaires. Les voussures ? Les formes géométriques, aux réminiscences celtiques, y prennent la place d’honneur : bandeaux tressés, dents de scie, zig- zag, bâtons interrompus… Au sud du département, vous pourrez ainsi flâner avec une curiosité gourmande devant les façades de Saint-Christophe, Conie-Molitard, Châtillon-en-Dunois. Plus près de Chartres, Dangers est un portail étonnamment archaïque, où les motifs gravés émergent à peine de la pierre. Berchères-la-Maingot et Ver-lès-Chartres révèlent des décors plus originaux. À Bailleau-l’Évêque et Jouy, entrent en action des équipes qui reproduisent l’élégant portail gothique “modèle” – en version réduite.

Si l’on se dirige à l’instinct vers le portail, il ne faut pas en oublier les fenêtres. Les plus intéressantes sont celles refaites au XVe/XVIe siècles, avec leur fin réseau de pierre – on dit “remplage”, qui leur donne l’aspect d’une dentelle. On compte ainsi 2000 fenêtres “gothique flamboyant” sur le seul département, qui sont de vrais joyaux oubliés ! Des exemples spectaculaires en grand format se voient à Courville-sur-Eure, Nogent-le-Roi ou Illiers-Combray. Mais on en trouve presque partout : le modèle “type”, qui imite d’ailleurs à la perfection les courbes et contrecourbes des flammes, plusieurs modèles dérivés (qu’on finit par repérer) et quelques modèles uniques – et qui sont d’autant plus réjouissants pour le vadrouilleur des églises.

On compte quelques ovnis : le tympan sculpté du hameau de Mervilliers (Allaines), accessible en poussant la porte en bois d’un jardin, nous plonge dans le monde des chevaliers. Non loin, la façade de l’église de Toury est précédée d’un délicieux “caquetoire” à arcades de pierre, à l’image d’un cloître miniature.

Dans les églises rurales, dont certaines sont fréquemment ouvertes grâce à l’association Églises Ouvertes en Eure- et-Loir, le patrimoine est aussi celui du vitrail, notamment les très nombreuses fenêtres “académiques” réalisées par les ateliers Lorin autour des années 1900. Dans le Dunois, les peintures murales de la chapelle Notre-Dame-d’Yron ou de l’église de Lutz-en-Dunois nous montrent à quel point le dessin au trait, tel que le pratiquaient les artistes du XIIe siècle, atteint une force graphique intemporelle : l’essentiel – rien de plus.

Les milliers de statues qui habitent les églises locales (souvent autour d’un mètre de haut…) parcourent un vaste répertoire stylistique, qui s’étend du XVe au XXe siècle : pierre ou bois, “nature” ou polychrome, art “savant” ou populaire. Il faut s’attendre à tout. Et peut-être garderez-vous le souvenir poignant d’un visage que d’aucuns ignoraient.

Église de Dreux

LES MODILLONS sont des petits corbeaux en pierre qui soutiennent la corniche du toit. La deuxième moitié du XIIe siècle, époque à laquelle sont construites l’essentiel des églises de la région, est la grande époque des tailleurs de pierre romans, toujours capables – avec leur esprit spontané et joueur, de vous faire une surprise. Si l’essentiel des modillons sont de simples blocs arrondis, l’un d’eux (pourquoi lui ?) est parfois sculpté d’une tête. Dans certaines églises (Aunay-sous- Auneau, Saint-Rémy d’Auneau, Boncé, Ymonville, Germignonville, Fontenay- sur-Eure) c’est un vrai festival de visages grotesques, d’animaux fantastiques, tous plus improbables les uns que les autres : monstres aux oreilles pointus, personnages qui se mélangent les pieds et les mains, animaux qui nous rapprochent de l’univers du dessin animé (on a retrouvé Scrat de l’âge de glace !). Un vrai régal…

Calvaire
Église de Dreux

Les corniches du XVe siècle, à motif de tiges feuillagées, sont d’une finesse virtuose. Des merveilles, où l’on trouve vigne, lierre et liserons se rencontrent à Brezolles ou Maillebois.

Église de Dreux

À l’horizon lointain… apparaît et réapparaît la silhouette de la cathédrale de Chartres. Peu de régions possèdent ce lien essentiel (à la fois géographique et psychologique) entre un monument et son territoire. L’image iconique de deux flèches – pointes imperceptibles dépassant de la barre horizontale qui est celle de l’océan de blés – s’impose comme une réalité puissante, que la directive paysagère, dispositif légal nnovant, s’attache aujourd’hui à protéger. Naturellement (obligatoirement ?) attirés, on finit par se rapprocher…

Église Saint-Pierre

Dans la banlieue, quelques édifices sortent du rang. À Lèves, le f lanc sud de l’église voit son mur transformé en une extraordinaire “dalle de verre”, dont la dimension est hors-norme. Le procédé utilise des verres épais, découpés au marteau et sertis dans une paroi de ciment. L’oeuvre a été réalisée après la seconde guerre mondiale, par l’un des plus créatifs verriers de l’époque, qui habitait à proximité : Gabriel Loire. Au séminaire des barbelés (Le Coudray), c’est le souvenir de Franz Stock, l’une des figures majeures de la réconciliation franco-allemande qui est évoqué. Il en a lui même réalisé les fresques.

Église Saint-Aignan

Dans le centre-ville, le patrimoine religieux se fait plus dense : sept paroisses se partageaient autrefois l’intérieur des remparts. Parmi elles, l’église Saint-Aignan a l’avantage d’offrir un ensemble exceptionnel de vitraux des années 1500, ou un spécialiste verra quelques prouesses techniques. Un étonnant jugement dernier, d’après une gravure de Dürer, occupe l’une des chapelles. L’église la plus spectaculaire est celle d’une ancienne abbaye : Saint-Père-en-Vallée – aujourd’hui Saint-Pierre.
Elle représente un réel conservatoire de l’histoire de l’art médiéval, puisque s’y côtoient l’art pré-roman (la tour porche et ses murs épais de plus de deux mètres), l’art roman (le déambulatoire, où l’on découvre des chapiteaux à godrons), l’art gothique classique (la nef ) et l’art gothique rayonnant (les structures supérieures du chœur). La légèreté de son vaisseau, où la paroi disparait au profit des ouvertures, lui donne une silhouette unique. « Frégate légère dans le sillage d’un navire de haut bord » disait d’elle un poète. C’est le moment de monter la dernière pente vers ce “navire amiral” – comme l’ont fait des millions de pèlerins.

Inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO

Il faut mesurer, pour qui vit à proximité de ce “signe” familier et n’en mesure pas la portée, ce que représente réellement la cathédrale : unique au monde par plusieurs de ses aspects, établissant un niveau d’achèvement technique et artistique qui tient à la fois de l’évidence physique et intellectuelle. Au fond : le genre de lieu capable de marquer à vie certaines personnes qui la visitent. Le patrimoine mondial UNESCO a ainsi voulu dès 1979 l’inscrire à son critère « 1 » : celui qui représente un chef d’œuvre du génie créateur humain. Est-il vraiment nécessaire de relire chacun de ces mots ? Le critère « un » fait ainsi rentrer Chartres dans une “short liste” ou figurent : le Taj Mahal, les temples d’Angkor, le Mont-Saint-Michel, la Statue de la Liberté, Saint-Pierre de Rome…

Ce classement rappelle aussi, aux critères « 2 » et « 4 », que Chartres a exercé une influence considérable sur l’évolution ultérieure de l’architecture gothique et qu’elle est l’exemple le plus éclairant pour comprendre ce que signifie (culturellement, socialement) l’aventure des cathédrales. Reste une/des question(s) ? Pourquoi est-elle si “unique” ?

L’architecture d’origine, finie en moins de trente ans, y est conservée dans sa presque intégralité. Rien ne permet mieux de mesurer l’authenticité des volumes intérieurs et l’immensité sidérante de ce vaisseau (le record du monde des années 1200 en élévation, la plus large des nefs existantes) que de s’y poser au moins quelques instants – en s’asseyant dans les chaises de la nef : ressentir la perception intuitive des différents espaces, saisir l’atmosphère lumineuse qui joue des parois et des vides. Très vite, s’appréhende l’équilibre des forces entre lignes horizontales et verticales : les piliers jaillissent, tels les arbres qui rythment l’allée d’une forêt, en direction des voûtes sur croisée d’ogives. Cette structure à la fois légère et surpuissante, est bien née, comme l’avait senti Rodin, d’une transcendance de la nature…

Depuis les restaurations des enduits intérieurs (commencée en 2008), on (re)découvre les murs tels qu’ils étaient au XIIIe siècle : couverts d’un enduit de sable ocre sur lequel sont tracés les “faux joints” de pierre. La peinture blanche fait aussi ressortir les éléments porteurs, “virtualisant” l’édifice et rajoutant à son aspect “dynamique”.

Une telle métamorphose, qui est en réalité un retour à l’authentique, est étonnante. Elle l’est pour les visiteurs, au point que certains croient que l’enduit intérieur a été “refait” : en réalité, il est surtout… nettoyé. Elle se signale, aux yeux de beaucoup d’historiens d’art internationaux, comme l’un des récents “coups de tonnerre” s’agissant de préservation et de restauration du patrimoine. Elle permet enfin de mieux mesurer le caractère futuriste de cette architecture linéaire, qui anticipe “l’ossature-voile” des aérogares et stadiums contemporains : ici travaillent les meilleurs ingénieurs de leur temps, qui poussent constamment leurs paramètres vers des zones records.

Les vitraux de la cathédrale sont (presque) tous réalisés en moins de trente ans (env. 1200-1225). 80% des fenêtres sont conservées – ce qui représente le plus grand ensemble que nous a donc laissé le Moyen Âge. Prenons le temps de circuler un peu : les formes géométriques des panneaux et le fonds décoratif diffèrent d’une fenêtre à la suivante. Tout autant les associations de couleurs et la mise en scène des histoires : aucune répétition n’est possible… Comment rester insensible
à cette vibration ? Dans l’esprit des hommes du XIIIe siècle, elle rappelle les pierres précieuses qui ornent les murs de la “Jérusalem Céleste” : saphir, rubis, émeraude… Les couleurs sont aussi le reflet symbolique de la multiplicité des activités et émotions humaines, qui s’éclairent dans l’immatérialité d’une lumière associée à la sphère divine.


Si l’impact de la contemplation des vitraux a quelque chose d’assez intime et viscéral, et qu’il mérite de « lâcher prise » pour s’y abandonner, l’émotion n’empêche (surtout) pas l’exercice intellectuel. Il est passionnant de suivre l’histoire de ces vitraux, pour comprendre mieux l’esprit des scénaristes et dessinateurs des années 1200. L’exercice ne présente aucune difficulté si l’on dispose du “story-board”, au point que les enfants sont souvent les meilleurs “lecteurs”. Enchaînement des scènes, rôle des personnages, rebondissements, expression des visages, décors de fond : chaque détail a ici son importance. Au-delà de ce premier visionnage du “film”, on passe à la vitesse supérieure. Dans l’agencement des scènes, les éléments rajoutés, le choix symbolique des couleurs, se profilent plusieurs niveaux de lecture (deux, trois, quatre…) qui interrogent les questions essentielles d’une existence, s’aventurent sur le terrain théologique, posent les enjeux socio-politiques, évoquent l’au-delà… On finit par entrevoir ce que signifierait un patrimoine “philosophique”…


Les sculptures sont conservées à plus de 90 %. Pas de têtes disparues ou refaites. À Chartres, on peut suivre l’histoire de la sculpture dans plusieurs “moments” significatifs. Au portail royal, pour ne choisir que lui, les statues colonnes sont ainsi essentielles à qui veut comprendre en 3D, comme me l’avait confié un plasticien célèbre, l’essence profonde de l’être humain (rien que cela…) : démesurément allongées, figées dans leur rectitude, regard énigmatique, plissées, serrées, elles évoquent encore le style roman – qui est aussi celui de l’Egypte antique. On y perçoit pourtant ce qui fait l’âme du gothique : soupçon de vie, frémissement, esquisse de mouvement, sourire – ce qui définit l’émergence de la vie. Ce basculement (qui est aussi un point d’équilibre entre le monde de la théorie et celui du réel) trouve à Chartres sa forme la plus subtile, qui est une charnière dans l’histoire de l’art universel : il faudra attendre Matisse et Picasso (Giacometti en sculpture), soit huit siècles plus tard, pour faire le chemin inverse – retrouver les formes essentielles, derrière le vivant. Unique, vous avez dit unique…

Une cathédrale est une histoire matérielle tout autant qu’une histoire de rencontre humaine.
Chartres focalise l’attention des écrivains, poètes, designers, musiciens, architectes (de tous les pays) qui fréquentent incognito le sanctuaire. La liste est (très) longue. Chacun y apporte d’ailleurs sa sensibilité, son regard, son “explication”. Tel Orson Welles, devant les images de Chartres, d’une voix inspirée : « Une célébration à la gloire de Dieu et à la dignité de l’homme. […] En définitive, tout ce qui demeure, au jour d’aujourd’hui, c’est l’homme, nu, misérable, écartelé, dérisoire. Il n’y a plus de célébration. C’est ainsi […] cette gloire anonyme, cette riche forêt de pierre, ce chant épique, cette allégresse, cet immense cri de foi que nous choisirons, quand nos cités seront poussière, de garder intact, afin de laisser notre empreinte, afin de témoigner de notre puissance de création. »

Surtout, les artistes s’inspirent de ce lieu pour ses créations futures. Puisqu’ils n’en reviennent jamais tout à fait pareil : auteurs à succès, stars de la musique… Chartres se retrouve ainsi en filigrane dans de nombreuses œuvres contemporaines – patrimoine qui demeure terriblement actuel.

Me revient ce moment où, du haut de la flèche nord, je regardais celle du sud, avec un architecte qui a signé les plus hauts buildings du monde. « Celui qui l’a bâtie est un génie pur, dit-il. Nous avons aujourd’hui des bureaux d’ingénieurs, qui calculent les déformations au vent et à la chaleur ; lui s’avance dans un terrain inconnu. Et il conçoit un dessin d’une pureté exceptionnelle, dans lequel aucun élan n’est brisé – un lien idéal entre terre et ciel ». Entre terre et ciel…

Ensemble, nous avions parlé de ces petits clochers des églises rurales que l’on voit si bien depuis 80 mètres de haut, qui dialoguent avec leur sentinelle protectrice et appartiennent certainement à la même famille que ces deux flèches – animés de la même vibration profonde.

Le patrimoine religieux est une affaire de communauté rassemblée qui veut à tout prix se créer un repère. Parfois, ce sont trente maisons de paysans, qui usent de leurs (faibles) moyens. L’empreinte laissée n’en est que plus touchante et mérite d’être respectée par ceux qui l’entourent.
Mieux : regardée avec des yeux attendris. Tellement de trésors sont cachés, vous l’avez compris, par ceux qui nous ont précédé : ils sont autant d’invitations à flâner…

À Chartres, au nom d’une communauté qui allait de la Seine à la Loire (l’ancien diocèse), les porteurs du projet ont pu (ont su ?) faire appel aux “meilleurs” artistes, penseurs et techniciens de leurs temps – les meilleurs à échelle… mondiale. La trace fulgurante, presque vertigineuse, qu’ils ont laissé a donc suivi la même direction universelle, qui prend les traits d’un héritage : sans doute la cathédrale s’adresse-t-elle définitivement à tous, quels que soient pays et cultures.

Latest from Blog

Édito N°17

WE ART ! La culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié. Elle est individuelle,

Stéphane Bern

Stéphane Bern, 58 ans, est animateur de radio et de télévision, écrivain et acteur. Un CV

Édito N°16

Made with love Depuis la nuit des temps, l’homme créé de ses mains.Et c’est la définition

Édito N°15

Pour que notre patrimoine vert dure… Avril. Partout dans notre département, la végétation se réinstalle, investit

Patrimoine & propriété

Parmi les différents types de patrimoine, mobilier, financier, historique, culturel, architectural, ou naturel, l’immobilier tient une